5 resultados para SECRECION VAGINAL

em Université de Montréal


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The aim of this study was to present a new methodology for evaluating the pelvic floor muscle (PFM) passive properties. The properties were assessed in 13 continent women using an intra-vaginal dynamometric speculum and EMG (to ensure the subjects were relaxed) in four different conditions: (1) forces recorded at minimal aperture (initial passive resistance); (2) passive resistance at maximal aperture; (3) forces and passive elastic stiffness (PES) evaluated during five lengthening and shortening cycles; and (4) percentage loss of resistance after 1 min of sustained stretch. The PFMs and surrounding tissues were stretched, at constant speed, by increasing the vaginal antero-posterior diameter; different apertures were considered. Hysteresis was also calculated. The procedure was deemed acceptable by all participants. The median passive forces recorded ranged from 0.54 N (interquartile range 1.52) for minimal aperture to 8.45 N (interquartile range 7.10) for maximal aperture while the corresponding median PES values were 0.17 N/mm (interquartile range 0.28) and 0.67 N/mm (interquartile range 0.60). Median hysteresis was 17.24 N∗mm (interquartile range 35.60) and the median percentage of force losses was 11.17% (interquartile range 13.33). This original approach to evaluating the PFM passive properties is very promising for providing better insight into the patho-physiology of stress urinary incontinence and pinpointing conservative treatment mechanisms.

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La vestibulodynie provoquée (VP) est la forme la plus répandue de douleur génito-pelvienne/trouble de la pénétration et la cause la plus fréquente de douleur vaginale chez les femmes pré-ménopausées. Les femmes qui en souffrent rapportent plus de détresse psychologique ainsi qu’un fonctionnement sexuel appauvri, une diminution de la fréquence des activités sexuelles et du plaisir, et plus d’attitudes négatives à l’égard de la sexualité. Les recherches portant sur les couples souffrant de VP ont montré le rôle prépondérant des variables relationnelles dans la modulation des conséquences sexuelles et psychologiques pour les femmes et leurs partenaires. Cependant, aucune analyse dyadique n’a été appliquée au facteur de risque étiologique le plus robuste, soit la maltraitance durant l’enfance. Par ailleurs, malgré des recommandations répétées pour inclure le partenaire dans le traitement psychologique pour la VP, aucune étude à ce jour n’a examiné l’efficacité d’une psychothérapie qui inclut systématiquement le partenaire et dont la cible est le couple. L’objectif général de cette thèse a été d’utiliser une perspective dyadique afin d’examiner les antécédents de maltraitance et l’efficacité d’une intervention conçue pour améliorer les issues des couples souffrant de VP. Le premier article vise à examiner les liens entre la maltraitance durant l’enfance des femmes souffrant de VP et leurs partenaires, et leur fonctionnement sexuel, leur ajustement psychologique, leur satisfaction conjugale et enfin avec la douleur rapportée par les femmes durant les relations sexuelles. Quarante-neuf couples souffrant de VP ont complété des questionnaires auto-rapportés. La maltraitance durant l’enfance chez les femmes était associée à un fonctionnement sexuel plus faible chez les femmes et les hommes, une augmentation de l’anxiété chez les femmes seulement, et une douleur affective accrue durant les relations sexuelles. La maltraitance durant l’enfance chez les hommes était associée à un fonctionnement sexuel plus faible, moins de satisfaction conjugale, plus d’anxiété chez les femmes et les hommes, et une douleur affective accrue durant les relations sexuelles rapportée par les femmes. En se basant sur les recommandations issues des études empiriques, une thérapie cognitive et comportementale pour les couples (TCCC) souffrant de VP a été développée. Le deuxième article présente les résultats d’une étude pilote testant son efficacité, fidélité et faisabilité potentielles. Neuf couples ont complété des questionnaires auto-rapportés pré- et post-traitement. La TCCC de 12 rencontres était manualisée. Les femmes ont rapporté une amélioration significative de la douleur, du fonctionnement et de la satisfaction sexuels, et les partenaires ont rapporté une amélioration significative de leur satisfaction sexuelle. Les couples ont rapporté des niveaux élevés de satisfaction quant à la psychothérapie, et les psychothérapeutes ont rapporté suivre le manuel de traitement de manière fidèle. Le troisième article, s’appuyant sur les résultats prometteurs de l’étude pilote, décrit le protocole de recherche pour un essai clinique randomisé mesurant l’efficacité de la TCCC comparée à une intervention médicale de première ligne, la lidocaïne topique, pour le traitement de la VP. Enfin, les implications cliniques et théoriques de la thèse sont discutées.

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L’infection au VIH s’accompagne souvent de dérégulations du compartiment des lymphocytes B qui nuisent à la génération de réponses efficaces. En effet, détectées tôt après l’infection, ces dérégulations perdurent, ne sont pas totalement restaurées par la thérapie, et mènent souvent à des manifestations auto-immunes et lymphomes. Une étude longitudinale de notre groupe, effectuée avec des cellules mononucléées du sang circulant provenant de patients VIH+ avec différents types de progression clinique, a démontré qu’un niveau élevé de BLyS chez des individus VIH+ progresseurs était associé à une dérégulation des fréquences de populations de cellules B avec augmentation de cellules innées de la zone marginale (MZ) présentant des caractéristiques d’immaturité et d’activation. Au contraire, chez des individus VIH+ non-progresseurs avirémiques ou contrôleurs d’élite, les niveaux de BLyS étaient dans la normale et ce sont les fréquences de cellules B MZ plus matures qui étaient diminuées. La résistance au VIH pourrait aussi impliquer le contrôle de BLyS et son impact sur les cellules B. De ce fait, nous avons préalablement recruté une cohorte de travailleuses du sexe (TS) à Cotonou (Bénin) dans laquelle nous avons identifié des femmes qui demeurent séronégatives malgré une exposition soutenue au virus. Nous avons mesuré les niveaux de BLyS dans le sang et dans les lavages cervico-vaginaux (CVL) de TS VIH- et les avons comparés à ceux mesurés chez des TS VIH+ et un groupe contrôle de non-TS VIH- . Nous avons trouvé que les niveaux de BLyS dans le sang et le CVL des TS VIH- étaient inférieurs à ceux des TS VIH+ et des non-TS VIH-. Le niveau d’expression de BLyS à la surface des lymphocytes T, monocytes et cellules dendritiques de TS VIH- était augmenté, mais à un niveau moindre que les TS VIH+. Chez les TS VIH+, les hauts niveaux de BLyS étaient concomitants avec une dérégulation du compartiment B caractérisée par une hyperglobulinémie, une augmentation de la fréquence de populations avec un profil immature/inné et une plus grande proportion de plasmablastes IgG vs IgA. Au contraire, les niveaux inférieurs de BLyS dans le sang des TS VIH- coïncident avec un compartiment B préservé, révélant que les lymphocytes B MZ peuvent être impliqués dans l’immunité naturelle au VIH. Ces résultats démontrent l’importance du contrôle des niveaux de BLyS et du maintien de l’intégrité du compartiment B dans la résistance au VIH.

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Background and Purpose. Electrical stimulation of the pelvic floor is used as an adjunct in the conservative treatment of urinary incontinence. No consensus exists, however, regarding electrode placements for optimal stimulation of the pelvic-floor musculature. The purpose of this study was to compare two different bipolar electrode placements, one suggested by Laycock and Green (L2) the other by Dumoulin (D2), during electrical stimulation with interferential currents of the pelvic-floor musculature in continent women, using a two-group crossover design. Subjects. Ten continent female volunteers, ranging in age from 20 to 39 years (X̅=27.3, SD=5.6), were randomly assigned to one of two study groups. Methods. Each study group received neuromuscular electrical stimulation (NMES) of the pelvic-floor musculature using both electrode placements, the order of application being reversed for each group. Force of contraction was measured as pressure (in centimeters of water [cm H2O]) exerted on a vaginal pressure probe attached to a manometer. Data were analyzed using a two-way, mixed-model analysis of variance. Results. No difference in pressure was observed between the two electrode placements. Differences in current amplitude were observed, with the D2 electrode placement requiring less current amplitude to produce a maximum recorded pressure on the manometer. Subjective assessment by the subjects revealed a preference for the D2 electrode placement (7 of 10 subjects). Conclusion and Discussion. The lower current amplitudes required with the D2 placement to obtain recordings comparable to those obtained with the L2 technique suggest a more comfortable stimulation of the pelvic-floor muscles. The lower current amplitudes required also suggest that greater increases in pressure might be obtained with the D2 placement by increasing the current amplitude while remaining within the comfort threshold. These results will help to define treatment guidelines for a planned clinical study investigating the effects of NMES and exercise in the treatment of urinary stress incontinence in women postpartum.

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Objective: Vulvovaginal atrophy (VVA), caused by decreased levels of estrogen, is a common problem in aging women. Main symptoms of VVA are vaginal dryness and dyspareunia. First-line treatment consists of the application of local estrogen therapy (ET) or vaginal moisturizer. In some cases however, symptoms and signs persist despite those interventions. This case study describes a 77-year-old woman with severe VVA symptoms despite use of local ET and the addition of pelvic floor muscle (PFM) training to her treatment. Methods: A patient with stress urinary incontinence and VVA was referred to a randomized clinical trial on PFM training. On pretreatment evaluation while on local ET, she showed VVA symptoms on the ICIQ Vaginal Symptoms questionnaire and the ICIQ-Female Sexual Matters associated with lower urinary tract Symptoms questionnaire, and also showed VVA signs during the physical and dynamometric evaluation of the PFM. She was treated with a 12-week PFM training program. Results: The patient reported a reduction in vaginal dryness and dyspareunia symptoms, as well as a better quality of sexual life after 12 weeks of PFM training. On posttreatment physical evaluation, the PFMs' tone and elasticity were improved, although some other VVA signs remained unchanged. Conclusions: Pelvic floor muscle training may improve some VVA symptoms and signs in women taking local ET. Further study is needed to investigate and confirm the present case findings and to explore mechanisms of action of this intervention for VVA.